↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
↑ Celia Hempton, Lupa, June - July 2015
PRESS RELEASE:

Lupa is the first solo show at Sultana Gallery by London-based artist Celia Hempton.

Taking its name from the mythical wolf that suckled the two boys Romulus and Remus, the name was also used in Roman times as a slang word for a prostitute. In Spainish a Lupa is a magnifying glass.

This exhibition forms part of a series of installations where the artist has hung paintings made in the studio onto site-specific wall paintings. The gallery walls have been painted with overlaying patches of paint, some areas whitewashed, deleted and re-painted in blocks of opaque colour.

The wall paintings are a continuation of Hempton’s interest in utilizing the extremities within painterly convention, representation and function. They also serve as a context, sometimes fluctuating in temperature and compatibility, for the nude paintings that hang on them.

The small nude paintings – specifically of body parts usually hidden - are made in situ within a day, a few feet from the model, for the whole duration of the painting’s production.


Lupa est la première exposition personnelle à la galerie Sultana de Celia Hempton, artiste basée à Londres.

Elle reprends le nom de la louve mythique qui a allaité les jumeaux Romulus et Remus, mot qui était aussi utilisé en argot romain pour désigner une prostituée. En espagnol Lupa est un verre grossissant. 

Cette exposition fait partie d’une série d’installations dans lesquelles l’artiste accroche ses peintures, réalisées dans le studio, sur des peintures murales qu’elle travaille spécifiquement pour le lieu. Ici, les murs de la galerie ont été recouverts de taches de peintures, certaines parties ont été badigeonnées, effacées puis repeintes par des blocs de couleur opaque.

Ces wall-paintings fonctionnent pour Celia Hempton comme une continutité de ses recherches sur les limites des conventions picturales, de leur représentation et de leur fonction. Ils servent aussi de contexte ou de support pour les peintures de nus qu’elle accroche par-dessus, nuançant parfois l’ambiance et la compatibilité. 

Les petites peintures de nus - concentrées sur les parties du corps habituellement cachées - sont faites in situ en un jour, à quelques pas du modèle, pendant la durée totale de la production de l’œuvre. 

Sultana